En 2026, l'ensemble des entreprises assujettis à la TVA (grandes entreprises, ETI, TPE/PME) devra utiliser la facturation électronique.
La dématérialisation des factures représente une source d'économies pour les entreprises. En évitant les coûts liés à l'impression, à l'envoi postal, ainsi qu'à la conservation et l'archivage des documents en format papier, les entreprises peuvent réallouer ces ressources financières à d'autres projets stratégiques.
De plus, les processus de gestion dématérialisés réduisent les erreurs administratives, minimisent les retards de paiement et accélèrent les cycles comptables, ce qui se traduit par une meilleure maîtrise de la trésorerie et une réduction des coûts opérationnels.
Opter pour la dématérialisation, c'est faire un choix écoresponsable. Chaque facture non imprimée représente une économie en matière première, réduisant ainsi la pression sur nos forêts et contribuant à la lutte contre la déforestation.
Au-delà de la simple feuille de papier, c'est tout un processus industriel, depuis l'abattage jusqu'à la distribution, qui est évité.
En outre, minimiser l'usage du papier réduit le transport nécessaire à sa distribution, et donc les émissions de gaz à effet de serre associées. Ainsi, la dématérialisation n'est pas qu'une question de modernité ou d'efficacité, c'est également un engagement envers notre planète.
La législation de 2024 marque un tournant décisif en matière de gestion des factures. Elle impose aux entreprises la transition vers la facturation électronique, faisant ainsi de la dématérialisation une nécessité réglementaire.
En se tournant vers la dématérialisation des factures, les entreprises garantissent une traçabilité exemplaire de leurs transactions, facilitant les audits et assurant une conformité légale.
Cette évolution souligne l'importance croissante accordée à la transparence, à la sécurité des échanges et à la modernisation des processus administratifs dans le monde professionnel.